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    Nous avons essayé Besiege Console sur PS5, et c’est incroyablement chaotique !

    Avis de non-responsabilité : Aucun moulin à vent, brave soldat ou mouton innocent n’a été blessé lors de la réalisation de cette critique. Eh bien… peut-être juste quelques-uns.

    Si vous avez déjà rêvé de canaliser votre scientifique fou médiéval intérieur, Besiege Console est peut-être le jeu qu’il vous faut. Disponible pour précommande maintenant sur le PlayStation Store (avec 3 jours d’accès anticipé glorieux, s’il vous plaît), ce bijou de Spiderling Studios vous permet de construire des machines outrageusement destructrices et de tester les limites de la physique et de votre imagination.

    Nous avons pris place et l’avons essayé sur la PS5. Alerte spoiler : c’est un voyage ridiculement amusant et chaotique, mélange parfait de génie en ingénierie et de comédie burlesque.

    Besiege PS5

    Un bac à sable de destruction et de créativité

    Le principe est simple mais ô combien satisfaisant : construisez des machines de siège médiéval pour détruire des châteaux, des villages et parfois… vous-même. Vous disposez d’une toile vierge, d’un bloc central pour commencer, et de plus de 70 blocs de construction pour libérer votre côté créatif (ou destructeur). Besoin de roues ? C’est fait. Lance-flammes ? Bien sûr. Hélices pour faire voler votre machine de mort ? Absolument.

    Que vous construisiez un chariot de la mort roulant ou un vaisseau aérien de malheur, le jeu vous encourage à penser en dehors des sentiers battus—ou, dans notre cas, à construire une boîte avec des piques et à la regarder s’effondrer hilarante sous son propre poids.

    Mode campagne : 55 niveaux de chaos

    Le mode campagne du jeu s’étend sur quatre îles et 55 niveaux, chacun avec des objectifs uniques. Parfois, vous devez tout écraser sur votre passage ; d’autres fois, vous devez adopter une approche plus calculée, comme voler des ressources. Mais soyons honnêtes, la plupart d’entre nous veulent juste tout casser, et Besiege le fait à merveille.

    Un moment, vous admirerez l’élégance de votre catapulte. Le suivant, vous la regarderez s’effondrer dans les flammes parce que vous, comme nous, avez oublié que feu + bois = mauvaise idée. La possibilité de revenir en arrière et d’ajuster vos conceptions ajoute à l’hilarité et maintient la frustration à distance.

    La physique du fiasco

    Le moteur physique de Besiege est la star du spectacle. Regarder votre machine soigneusement construite vaciller et s’effondrer ne vieillit jamais. Mais ce n’est pas seulement une question d’échec—le succès est incroyablement gratifiant. Il n’y a rien de tel que de voir votre création entrer au combat, les lames tournant, alors qu’elle fauche des ennemis et réduit des châteaux en décombres.

    Et les contrôles ?

    Adapter les contrôles de la version PC pour la PS5 allait toujours être un défi, et bien que l’interface de construction puisse parfois sembler un peu délicate (faire pivoter les pièces peut nécessiter un peu de patience), l’expérience globale est étonnamment fluide. Cependant, diriger vos créations est une autre affaire. Disons simplement que notre première tentative de virage s’est soldée par une explosion enflammée et quelques moutons très confus.

    Mode bac à sable : Libérez le chaos

    Si les niveaux de campagne ne suffisent pas, le jeu propose trois environnements de bac à sable où vous pouvez construire à votre guise. Vous voulez créer un trébuchet volant ? Allez-y. Une machine qui n’existe que pour s’auto-détruire de la manière la plus élaborée possible ? Voilà l’esprit !

    Le verdict : Procurez-vous-le (et peut-être un peu de patience)

    Besiege Console est chaotique, créatif et absolument fou—dans le meilleur sens du terme. Que vous soyez en train de créer méticuleusement un chef-d’œuvre de siège ou que vous colliez simplement des canons sur un cadre en bois en espérant le meilleur, le jeu offre un divertissement sans fin. Certes, les contrôles pourraient bénéficier d’un petit ajustement pour la console, mais c’est un petit prix à payer pour la joie pure de lancer une épave enflammée contre un mur de château.

    Si vous êtes même un peu curieux, précommandez maintenant et obtenez ces trois jours d’accès anticipé. Faites-nous confiance, vous voudrez le temps supplémentaire pour perfectionner votre machine volante de malheur.

    À bientôt sur le champ de bataille, bâtisseurs !

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